J'ai séché les cours, je me suis recroquevillé dans mes draps de flanelle et j'ai consolé mon désespoir avec un café au lait lorsque le Seigneur a mis l'Évangile d'aujourd'hui (Luc 5:1-11) sur mon cœur.
Une chose qui m'a piqué dans ma rupture était la quantité de travail que j'avais l'impression d'avoir mis dans la relation, et à quel point rien de tout cela ne semblait avoir d'importance maintenant. Tous les mois de postures, d'orchestration et de languissement n'ont conduit qu'à ce moment de déception fatigué et les mains vides.
J'ai pensé : « Seigneur, comment cela a-t-il pu arriver ? J'ai fait toutes les bonnes choses.
"Maître, nous avons travaillé dur toute la nuit et n'avons rien pris, mais sur ton ordre je vais baisser les filets" (Luc 5:5).
J'ai pleuré en lisant la réponse de saint Pierre ce matin-là. Je pouvais entendre les profondes frustrations de mon propre cœur résonner dans ses paroles.
Baisser mes filets pour une prise ? Ne comprends-tu pas que j'ai passé la nuit ici ? Ne vois-tu pas à quel point j'ai travaillé dur ? Ne voyez-vous pas mon épuisement ?
Pourtant, Peter abaisse les filets, et ils sont tellement submergés de poissons qu'ils commencent à se déchirer.
Juste au moment où je commence à penser que le Seigneur ne voit pas vraiment mes inquiétudes et mes déceptions, je me rappelle qu'il me comprend parfaitement. Quand je commence à penser qu'il ne viendra peut-être pas pour moi, il se montre pour moi dans la générosité et l'abondance. Quand je me permets de penser qu'il n'y a pas d'autre chemin, Il trace un chemin.
Sœur, à quoi cela ressemblerait-il pour vous et moi de sortir en eau profonde, même si nous avons regardé le filet vide toute la nuit ? Comment notre adoration changerait-elle si nous nous souvenions que Pierre revient sur le rivage avec plus qu'il n'aurait jamais pu demander ?
Aujourd'hui, je vous invite à entrer dans la réalité d'un Jésus qui est en fait aussi fidèle.
écouter la dévotion d'aujourd'hui
Il trace un chemin. // @sarahericksonnClick to tweet