J'ai tendance à garder une liste de contrôle constante et j'aime accomplir ces tâches dès que possible.
Balayer le sol (encore), faire des retours, planifier des rendez-vous… la liste est longue.
Ma dernière observance de carême visait à être plus présente à mon conjoint et surtout à mes enfants. Par exemple, en ces matins de semaine où ma liste de choses à faire menace de détourner la tête des yeux captivants de mon fils et de ma fille et vers des textes auxquels répondre, des événements à planifier et des courriels à envoyer.
Cela n'a pas été une surprise le mercredi des Cendres, puis, après avoir placé mon téléphone dans un endroit désigné et retiré, ma matinée a soudainement été plus paisible. Lorsque j'ai choisi d'être plus intentionnellement présente avec mes enfants et de rester avec eux, j'ai expérimenté la grâce de laisser tomber la liste.
Puis, le jour suivant immédiatement le dimanche de Pâques, j'ai justifié d'avoir mon téléphone à côté de moi toute la journée parce que j'avais "trop de choses à faire". La journée ne s'est pas bien passée. Choc .
Alors aujourd'hui, j'essaie encore et encore de me concentrer davantage sur ma famille que sur mes tâches. Téléphone ou pas de téléphone, liste de choses à faire ou non, être dans le moment présent peut être difficile. Les devoirs ne disparaissent pas et ils doivent être exercés de manière responsable ; mais j'ai appris qu'il ne faut pas cocher les listes au prix d'une perte de patience.
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L'un des articles de blog que je lis régulièrement est The Work of Motherhood de Christy Wilken. Elle parle de la maternité comme sanctifiante, écrivant que "ce qui compte n'est pas à quel point nos journées se déroulent parfaitement selon le plan, mais à quel point nous lui abandonnons parfaitement nos plans".
Dieu est Dieu et je suis humain. Il devrait sembler évident de Lui abandonner mes plans. Alors pendant que j'y travaille encore, je sais que, quand je choisirai de rester, Il portera beaucoup de fruit, et le fruit sera bon.
Sans moi, vous ne pouvez rien faire. // Jean 15:5
Quand je frôle Dieu, c'est comme si je saisissais le fruit de l'arbre pour essayer de remplir mon panier avant l'orage. C'est comme si je l'écrasais, refusant son aide dans le but d'ouvrir ma propre voie. En réalité, le fruit que je cueille moi-même est flétri et meurtri.
// Comment la soumission de vos projets à Jésus a-t-elle porté ses fruits dans notre propre vie ?
// Vous sentez-vous distrait et agité lorsque vos priorités ne sont pas alignées ? Avez-vous expérimenté le fruit contraire, positif ?
PS Prenez ce fond d'écran gratuit pour votre téléphone ou votre ordinateur pour vous rappeler votre concentration pendant cette série estivale (et au-delà) !
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